

Appel à participation !
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Participez à un temps de pratique artistique dans l’espace public !
Les 12, 13, 17 et 18 juin 2023
Art’R propose à toutes et tous (femmes et hommes de tous âges, avec ou sans expérience artistique préalable) de participer à un temps de pratique artistique collectif en espace public avec des artistes professionnels, dans le 11e arrondissement de Paris. Ce temps partagé se déroule sur la base du volontariat et sur inscription (gratuit).
Tout public – Gratuit
Lieu : Paris 11e
Vous êtes intéressé.e.s ? Vous voulez avoir plus d’informations sur le projet ?
Contactez nous : communication@artr.fr / 01 43 48 08 02

L’Instant T.
La Vaste Entreprise Les 17 et 18 juin 2023Appel aux sportifs.ves !
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Gymnophies – Symphonie de gestes sportifs
Du 7 au 12 juillet 2023
Dans le cadre de l’Olympiade Culturelle, Art’R et la compagnie Décor Sonore s’associent pour créer un spectacle musical sur-mesure au Gymnase Japy : Gymnophonies.
Contribuez à la recherche musicale et chorégraphique de la compagnie et prenez part à ce spectacle composé à partir de vos propres mouvements et équipement sportifs !
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Création 2022
Habiter n’est pas dormir
Une maison à ciel ouvert, sans cloison ni toit, va débarquer au lever du jour en plein cœur de la ville. Venez tout au long de la journée rencontrer le quotidien de celles et ceux qui y habitent, vous aurez la liberté de les observer de loin ou de près, de vous arrêter et pourquoi pas de devenir habitant de l’instant.
Rendez-vous à 22h : Au coucher du soleil, vous serez autorisés à vous installer autour de la maison et de poser votre regard sur l’intimité de celles et deux qui habitent… Entre rêve et réalité, une maison éclairée, c’est une maison qui regarde dehors et qui dévoile ses secrets…
Vidéo du spectacle
©Alexandre Maelst
Création 2023
Micropeauscope
Un cube en bois. C’est ainsi que Micropeauscope s’impose au spectateur. Une boite. On ne peut rien y voir d’autre ; de l’extérieur du moins. C’est justement ce que Micropeauscope cherche à nous dire : rien n’apparaîtra sans un changement de perspective. Il ne faut donc pas hésiter à épier, à travers l’interstice, sa véritable nature. Au sein de cette parenthèse sensorielle, le public découvre des corps, dansant des rythmes peauétiques et lumineux. La structure en tant que voyage du stellaire au cellulaire, invite aux questionnements environnementaux et sociétaux sur notre peau et celle de la planète qui nous accueille.
Après avoir présenté « La figure du baiser » de Nathalie Pernette au Palais Royal en 2018, Art’R collabore de nouveau avec Monuments en mouvement, programme de danse et de cirque du Centre des monuments nationaux et s’associe cette année avec le Théâtre de Châtillon, pour une carte blanche de la chorégraphe Satchie Noro dans les jardins de l’hôtel de Sully.
Du 16 au 18 juin, venez découvrir deux pièces de la compagnie Furinkaï et un concert de clôture de Maïa Barouh le 18 juin.
VESTIGES
Création
veStiges est une pièce solo-s, un chant des courbes pour des espaces « hors-mesure », en milieu végétal ou minéral, une composition sur le mouvement circulaire et ses amplitudes, du petit au grand, du proche au lointain, de l’intime au développé.
Cette pièce explore ce qui tourne, circule, s’arrondit, s’entortille et s’emmêle.
Ce que fabrique la rotation avec un corps et ce que le corps fabrique comme rotation.
Ce qui s’échappe de la mémoire sous l’effet d’une force ex ou concentrique.
LES ARPENTEUSES
1ère partie
C’est un projet chorégraphique, un tissage scénographique qui développe à partir de la relation du corps et de l’objet quotidien – la chaise – une écriture en mouvement, un lieu d’exploration, de métamorphose et de dialogue.
C’est une installation éphémère dans un pliage, dépliage permanent. Elle convoque trois présences s’inventant architectes d’un espace qui se recompose sans cesse.
Les Arpenteuses est une réécriture du projet « Sillas », créé et interprété à l’origine par les 3 artistes chiliens Nicolàs Eyzaguirre, Juan Larenas, Carlos Canalès et Satchie Noro.
MAIA BAROUH
Concert
Chanteuse, flûtiste, auteur, compositrice et arrangeuse Franco-Japonaise. Maïa est une artiste unique mélangeant les chants ancestraux Japonais avec du rap franco-Japonais, groove, électro, chanson avec une grande liberté. L’une de ses particularités est sa grande technique vocale – largement inconnue provenant d’une île au Sud du Japon qu’elle associe à sa flûte traversière, percussive et insolente.
Maïa a cette capacité exceptionnelle à réaliser des mélanges improbables. C’est de là que naît son style inimitable et reconnaissable.
Avec sa grande expérience de la scène, sa folie, son énergie volcanique et sa musicalité sans frontières, Maïa Barouh nous emmène au cœur de ses racines où mélancolie et transe, groove et musique électronique, rap et chant ancestraux se côtoient, et saisit le public par sa voix qui vous prend aux tripes !
Création 2022
Dispositif numérique immersif, théâtre de poche en caravane se transformant en scène extérieure, Paysage Intérieur est une série de poèmes visuels et sonores. Un voyage de la création du monde à l’apparition de l’homme en passant par l’origine du langage, les évolutions du corps et la logique du sens.
Les épisodes durent entre vingt et trente minutes.
Sous la forme d’un concert plastique déconcertant, Babel Habile, le troisième épisode, s’interroge sur les origines du langage : D’où vient le langage ? Qu’est-ce qui a permis à l’homme au fil de son évolution de passer des sons, des gestes au langage organisé de consonnes, de voyelles, de concepts…Pourquoi l’homme s’est-il mis à parler ? Pourquoi cette nécessité de nommer précisément toutes les choses qui l’entourent ? Pourquoi ce besoin d’exprimer en mots ses émotions, ses pensées; pourquoi les animaux ne parlent-ils pas ?
Création 2021
Une rêverie chorégraphique pour quatre corps et un élément
Je n’aime pas les bains, sais à peine nager, suis terrifiée en pleine nuit devant l’eau noire de l’océan et déteste avoir la tête immergée sous l’eau, où les sons m’apparaissent dangereusement déformés.
À l’inverse, j’aime presque par défi, me jeter dans les eaux glacées de torrents de montagne ou flotter dans les lagons des mers chaudes et lointaines… Que point de départ idéal à une future création !
Plus sérieusement, élément trouble et double, l’eau me fascine; tout à fois sombre et limpide, douce et furieuse, maternelle et mortelle, joueuse et ténébreuse, peuplée d’êtres fantastiques, réels ou imaginaires et dont les abysses, nous restent encore aujourd’hui inconnus. Un magnifique réservoir d’images poétiques, de souvenirs enfouis, d’histoires partagées et de reflets de notre intimité.
La Mémoire de l’eau se conçoit comme une rêverie chorégraphique fouillant la part sombre, légère et ludique de cet indispensable élément.
Plonger et resurgir, disparaître lentement sous la surface, percer la peau des eaux, travailler à la beauté d’une presque immobilité et à la flottaison, troubler d’un geste la miroir de l’eau, traverser d’une rive à l’autre, se noyer, ou glisser au fil de l’eau à la manière d’Ophélie.
Création 2018
Après JEAN, solo pour un monument aux morts, Patrice de Bénédetti présentera son nouveau spectacle Vous êtes ici. Un solo, qui mêlera corps et texte, à nouveau.
Cette fois-ci, Patrice de Bénédetti a choisi l’univers du sport et son enjeu pour des millions d’enfants, adolescents et jeunes adultes dans le monde : le sport comme moyen d’expression, comme ascenseur social et espoir de jours meilleurs. Il aborde en filigrane le rapport au groupe, à l’autre, au frère…
Création 2017
Fortement inspiré par la statuaire érotique et en particulier celles de Canova et du Bernin, La Figure du baiser, conçu pour six danseurs en duos, trios ou groupe, cherche à mettre en mouvement et en immobilité la rencontre comme l’étreinte amoureuse.
Se délecter. Apprécier longuement l’axe d’un regard, la main qui s’arrête avant le contact avec la peau, voyager en rêveries devant une épaule découverte ou dans la pression des doigts sur les cuisses.
La Figure du baiser ou comment passer en mouvement d’une posture à une autre et laisser résonner chacune d’entre elles dans nos têtes, comme une succession d’histoires possibles.
Jeux de séduction, d’approche et de refus, effeuillages, variations subtiles de rythmes, d’énergies et de touchés… Toutes les couleurs d’un amour physique qui n’oublie pas l’apaisement se relayent et questionnent notre manière – évidemment sensuelle – d’être à l’autre.
Création 2015
Projet chorégraphique en espace public pour 4 danseurs travaillant dans et avec le flux des passants.
Le désir premier de ce projet est de questionner la notion d’identité et d’individualité. Comment peut-on être identifié en tant qu’individu au sein d’un groupe? S’affirmer, se fondre dans une masse, apparaître, disparaître, se laisser emporter, se laisser traverser… Rester ? L’immersion totale peut aller jusqu’à la perte de notre propre identité. Ne risque-t-on pas de se laisser submerger?
Tenter l’aventure seul ou à plusieurs et comprendre ensemble qui nous sommes vraiment, quelle est notre place.
Création 2009
Avec Walldance#5#Les voies du mur, Les Passagers continuent d’explorer les formes chorégraphiques spécifiques à la danse sur mur. Sur les berges de Seine la gestuelle des danseurs répondra au travail plastique du Street art, ensemble danseurs et peintres construiront une ” suite émotionnelle” faite de couleurs et de sentiments. Une éphémère ouverture de l’espace urbain.
La journée du mercredi sera consacrée aux enfants. Entre deux représentations, Les Passagers créeront un moment de partage avec les plus jeunes spectateurs et les inviteront à entrer dans leur monde à la verticale. Forts de la puissance de l’imagination, les enfants réinventent un espace émotionnel personnel, fruit de leurs impressions de spectateurs. A partir de ces impressions, les enfants et les artistes créeront une composition picturale en partage.
Création 2009
Avec cette nouvelle création, la compagnie Les Passagers a exploré de nouvelles formes chorégraphiques spécifiques à la danse sur mur. A l’école d’architecture, la gestuelle des danseurs a répondu à l’élégante cheminée, à l’ossature métallique de la halle de l’ancienne usine d’air comprimé SUDAC, et aux formes élancées des façades de l’école, œuvre de l’architecte Frédéric Borel. Les artistes, suspendus, ont évolué de bas en haut et tout au long des murs, liant le bâtiment industriel du 19e siècle à l’édifice contemporain.