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Wakan – Un Souffle

Wakan – Un Souffle est une prière dansée, entre quête spirituelle et prouesse physique. Puisant dans les danses sacrées du monde, il explore tremblement, équilibre et extrêmes. Corps et musique fusionnent en un rituel vibrant, porté par cymbales, gongs et rythmes envoûtants. De la sérénité à la rage, il convoque énergie et ferveur, cherchant à toucher l’invisible, à apaiser nos âmes et la colère du monde.

Tancarville

Usant d’un objet aussi commun que le drap blanc, enveloppant les corps et l’espace scénique dans un entrecroisement de scènes poétiques ou sobrement ordinaires, Tancarville joue une fresque intemporelle où l’absurde entraine l’humour. Tour à tour porté, frappé, lavé, délaissé́, étendu, plié, le drap se transforme au gré́ des manipulations en enveloppe charnelle, costume, coiffe, accessoire, décor d’opéra ; il se fait rythme, souffle, instrument de travail ou de jonglage. Objet personnel et si communément universel, il se pose ici comme le témoin de notre mémoire collective et de nos rituels intimes, dans un voyage onirique à travers les civilisations et le temps.

NOTA BENE : un tancarville est un séchoir à linge pliable. C’est la forme du pont de Tancarville, ville de Normandie, qui a inspiré́ la société́ Dupré́ qui fabriquait alors des étendoirs.

Mizu

Mizu, eau en japonais est une pièce chorégraphique sur une étendue d’eau, une pièce de paysage, un pas de trois incarné par une danseuse, une marionnette de glace et sa marionnettiste. Dans Mizu, sur ce fil entre apparition et disparition, Élise et Satchie souhaitent célébrer l’impermanence, la fragilité de l’existence comme une ode à la vie, la fusion avec cet élément qui compose notre corps : l’eau, le passage de la forme à l’informe, de l’individu au cosmos.

CRÉATION 2025

Assemblée

Assemblée s’installe dans l’espace public pour une journée. 5 danseurs, 1 musicien, 1 scénographe composent l’espace, rencontrent les passants, échangent, collectent des gestes et partagent autour de la question, l’espace public est il un espace commun ? A la fin de la journée, un rendez-vous est donné pour tous ceux qui le veulent, les artistes partagent à travers des récits et des chorégraphies tous les gestes reçus lors de cette « assemblee » unique et éphémère.

DANS LE CADRE DE L’ASSOCIATION D’IDÉE POUR L’ESPACE PUBLIC
Avec le Moulin
 Fondu, CNAREP Garges-lès-Gonesse (95)

 


C’est BEAU !

Depuis plusieurs années, la Compagnie DK-BEL propose des spectacles qui mettent en scène des danseurs avec et sans handicap. Souvent, le retour des spectateurs est simplement : « C’est beau… ». Ils ont donc souhaité approfondir cette notion de beauté, en cherchant à comprendre en quoi elle peut à la fois être vectrice d’émotion personnelle, d’émotion collective voire universelle.

Ils ont décidé de partir de la notion du Beau selon le poète Charles Baudelaire, qui leur paraît très proche de leur démarche avec certains de leurs danseurs aux corps atypiques. Le Beau pour Baudelaire se lie au bizarre, à l’étrangeté, au chaos, à la douleur et à la fragilité des Êtres.

La pièce chorégraphique “C’est BEAU !” offrira au monde une vision particulière, singulière et sensible de la beauté, empreinte de toutes ces notions, en symbiose avec les lieux traversés et leurs habitants.

Hune

Emmené par le « mouvement » des marches, un spectacle qui joue avec la poésie des espaces urbains. Hune raconte une jeunesse qui passe ses journées dans les cages d’escalier. Ces marches se transforment en lieu de discussion, en salle à manger, en studio de musique ou de danse. On s’y dispute, on s’y réconcilie, on y habite ; la vie bouillonne sous les pierres aussi intensément que sur le béton ! Le spectacle explore avec finesse la poésie brute et viscérale des espaces urbains.

 

Création 2024

Les Planètes

Les Planètes sont une réécriture du poème symphonique homonyme de Gustav Holst dansée, jouée et chantée a cappella dans l’espace public. À dix chorégraphes / metteureuses en scène / compositeurices, et interprètes / performeureuses, nous nous confrontons à l’œuvre symphonique pour donner à voir et à entendre ce qui résonne du cosmos en nous. On pourrait imaginer le spectacle comme un parcours d’explorateurices à suivre au son de la partition musicale. Nous partons ensemble de la Terre pour une traversée du système solaire – et de la symphonie de Holst – de Mars à Neptune.

Teaser Les Planètes – La Ville en Feu from La Grosse Plateforme on Vimeo.

Deux danseuses dans tous les espaces de l’EHPAD Bastille

Prendre le temps, de se rencontrer, d’être ensemble, de danser, de regarder, de jouer….
Deux jours de danse sous toutes les formes et dans tous les espaces de l’EHPAD Bastille : ateliers, improvisations, jeux et spectacle pour terminer l’immersion.

De surprise en surprise, avec délicatesse et humour, nous faisons souffler un vent de danse, de beauté, de légèreté dans la maison. Regarder les corps danser, c’est déjà danser soi-même ! Répondre aux jeux proposés, c’est gagner un peu de mobilité. Les douleurs, la peur d’être déséquilibré tout ça s’envolent dans nos mouvements.


Montage vidéo : Estelle Laurentin

 

Création 2022

Habiter n’est pas dormir

Une maison à ciel ouvert, sans cloison ni toit, va débarquer au lever du jour en plein cœur de la ville. Venez tout au long de la journée rencontrer le quotidien de celles et ceux qui y habitent, vous aurez la liberté de les observer de loin ou de près, de vous arrêter et pourquoi pas de devenir habitant de l’instant.
Rendez-vous à 22h : Au coucher du soleil, vous serez autorisés à vous installer autour de la maison et de poser votre regard sur l’intimité de celles et deux qui habitent… Entre rêve et réalité, une maison éclairée, c’est une maison qui regarde dehors et qui dévoile ses secrets…


Vidéo du spectacle

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©Alexandre Maelst

Création 2023

Micropeauscope

Un cube en bois. C’est ainsi que Micropeauscope s’impose au spectateur. Une boite. On ne peut rien y voir d’autre ; de l’extérieur du moins. C’est justement ce que Micropeauscope cherche à nous dire : rien n’apparaîtra sans un changement de perspective. Il ne faut donc pas hésiter à épier, à travers l’interstice, sa véritable nature. Au sein de cette parenthèse sensorielle, le public découvre des corps, dansant des rythmes peauétiques et lumineux. La structure en tant que voyage du stellaire au cellulaire, invite aux questionnements environnementaux et sociétaux sur notre peau et celle de la planète qui nous accueille.