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CRÉATION 2025

Assemblée

Assemblée s’installe dans l’espace public pour une journée. 5 danseurs, 1 musicien, 1 scénographe composent l’espace, rencontrent les passants, échangent, collectent des gestes et partagent autour de la question, l’espace public est il un espace commun ? A la fin de la journée, un rendez-vous est donné pour tous ceux qui le veulent, les artistes partagent à travers des récits et des chorégraphies tous les gestes reçus lors de cette « assemblee » unique et éphémère.

DANS LE CADRE DE L’ASSOCIATION D’IDÉE POUR L’ESPACE PUBLIC
Avec le Moulin
 Fondu, CNAREP Garges-lès-Gonesse (95)

 


C’est BEAU !

Depuis plusieurs années, la Compagnie DK-BEL propose des spectacles qui mettent en scène des danseurs avec et sans handicap. Souvent, le retour des spectateurs est simplement : « C’est beau… ». Ils ont donc souhaité approfondir cette notion de beauté, en cherchant à comprendre en quoi elle peut à la fois être vectrice d’émotion personnelle, d’émotion collective voire universelle.

Ils ont décidé de partir de la notion du Beau selon le poète Charles Baudelaire, qui leur paraît très proche de leur démarche avec certains de leurs danseurs aux corps atypiques. Le Beau pour Baudelaire se lie au bizarre, à l’étrangeté, au chaos, à la douleur et à la fragilité des Êtres.

La pièce chorégraphique “C’est BEAU !” offrira au monde une vision particulière, singulière et sensible de la beauté, empreinte de toutes ces notions, en symbiose avec les lieux traversés et leurs habitants.

Hune

Emmené par le « mouvement » des marches, un spectacle qui joue avec la poésie des espaces urbains. Hune raconte une jeunesse qui passe ses journées dans les cages d’escalier. Ces marches se transforment en lieu de discussion, en salle à manger, en studio de musique ou de danse. On s’y dispute, on s’y réconcilie, on y habite ; la vie bouillonne sous les pierres aussi intensément que sur le béton ! Le spectacle explore avec finesse la poésie brute et viscérale des espaces urbains.

Création 2024

Les Planètes

Les Planètes sont une réécriture du poème symphonique homonyme de Gustav Holst dansée, jouée et chantée a cappella dans l’espace public. À dix chorégraphes / metteureuses en scène / compositeurices, et interprètes / performeureuses, nous nous confrontons à l’œuvre symphonique pour donner à voir et à entendre ce qui résonne du cosmos en nous. On pourrait imaginer le spectacle comme un parcours d’explorateurices à suivre au son de la partition musicale. Nous partons ensemble de la Terre pour une traversée du système solaire – et de la symphonie de Holst – de Mars à Neptune.

Teaser Les Planètes – La Ville en Feu from La Grosse Plateforme on Vimeo.

Deux danseuses dans tous les espaces de l’EHPAD Bastille

Prendre le temps, de se rencontrer, d’être ensemble, de danser, de regarder, de jouer….
Deux jours de danse sous toutes les formes et dans tous les espaces de l’EHPAD Bastille : ateliers, improvisations, jeux et spectacle pour terminer l’immersion.

De surprise en surprise, avec délicatesse et humour, nous faisons souffler un vent de danse, de beauté, de légèreté dans la maison. Regarder les corps danser, c’est déjà danser soi-même ! Répondre aux jeux proposés, c’est gagner un peu de mobilité. Les douleurs, la peur d’être déséquilibré tout ça s’envolent dans nos mouvements.


Montage vidéo : Estelle Laurentin

 

Création 2022

Habiter n’est pas dormir

Une maison à ciel ouvert, sans cloison ni toit, va débarquer au lever du jour en plein cœur de la ville. Venez tout au long de la journée rencontrer le quotidien de celles et ceux qui y habitent, vous aurez la liberté de les observer de loin ou de près, de vous arrêter et pourquoi pas de devenir habitant de l’instant.
Rendez-vous à 22h : Au coucher du soleil, vous serez autorisés à vous installer autour de la maison et de poser votre regard sur l’intimité de celles et deux qui habitent… Entre rêve et réalité, une maison éclairée, c’est une maison qui regarde dehors et qui dévoile ses secrets…


Vidéo du spectacle

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©Alexandre Maelst

Création 2023

Micropeauscope

Un cube en bois. C’est ainsi que Micropeauscope s’impose au spectateur. Une boite. On ne peut rien y voir d’autre ; de l’extérieur du moins. C’est justement ce que Micropeauscope cherche à nous dire : rien n’apparaîtra sans un changement de perspective. Il ne faut donc pas hésiter à épier, à travers l’interstice, sa véritable nature. Au sein de cette parenthèse sensorielle, le public découvre des corps, dansant des rythmes peauétiques et lumineux. La structure en tant que voyage du stellaire au cellulaire, invite aux questionnements environnementaux et sociétaux sur notre peau et celle de la planète qui nous accueille.

Après avoir présenté « La figure du baiser » de Nathalie Pernette au Palais Royal en 2018, Art’R collabore de nouveau avec Monuments en mouvement, programme de danse et de cirque du Centre des monuments nationaux et s’associe cette année avec le Théâtre de Châtillon, pour une carte blanche de la chorégraphe Satchie Noro dans les jardins de l’hôtel de Sully.
Du 16 au 18 juin, venez découvrir deux pièces de la compagnie Furinkaï et un concert de clôture de Maïa Barouh le 18 juin.


VESTIGES
Création 

veStiges est une pièce solo-s, un chant des courbes pour des espaces « hors-mesure », en milieu végétal ou minéral, une composition sur le mouvement circulaire et ses amplitudes, du petit au grand, du proche au lointain, de l’intime au développé.

Cette pièce explore ce qui tourne, circule, s’arrondit, s’entortille et s’emmêle.

Ce que fabrique la rotation avec un corps et ce que le corps fabrique comme rotation.

Ce qui s’échappe de la mémoire sous l’effet d’une force ex ou concentrique.


LES ARPENTEUSES
1ère partie

C’est un projet chorégraphique, un tissage scénographique qui développe à partir de la relation du corps et de l’objet quotidien – la chaise – une écriture en mouvement, un lieu d’exploration, de métamorphose et de dialogue.
C’est une installation éphémère dans un pliage, dépliage permanent. Elle convoque trois présences s’inventant architectes d’un espace qui se recompose sans cesse.

Les Arpenteuses est une réécriture du projet « Sillas », créé et interprété à l’origine par les 3 artistes chiliens Nicolàs Eyzaguirre, Juan Larenas, Carlos Canalès et Satchie Noro.


MAIA BAROUH
Concert

Chanteuse, flûtiste, auteur, compositrice et arrangeuse Franco-Japonaise. Maïa est une artiste unique mélangeant les chants ancestraux Japonais avec du  rap franco-Japonais, groove, électro, chanson avec une grande liberté. L’une de ses particularités est sa grande technique vocale – largement inconnue  provenant d’une île au Sud du Japon  qu’elle associe à sa flûte traversière, percussive et insolente.
Maïa a cette capacité exceptionnelle à réaliser des mélanges improbables. C’est de là que naît son style inimitable et reconnaissable.
Avec sa grande expérience de la scène, sa folie, son énergie volcanique et sa musicalité sans frontières, Maïa Barouh nous emmène au cœur de ses racines où mélancolie et transe, groove et musique électronique, rap et chant ancestraux se côtoient, et saisit le public par sa voix qui vous prend aux tripes !

www.maiabarouh.com

Création 2022

Dispositif numérique immersif, théâtre de poche en caravane se transformant en scène extérieure, Paysage Intérieur est une série de poèmes visuels et sonores. Un voyage de la création du monde à l’apparition de l’homme en passant par l’origine du langage, les évolutions du corps et la logique du sens.
Les épisodes durent
entre vingt et trente minutes.

Sous la forme d’un concert plastique déconcertant, Babel Habile, le troisième épisode, s’interroge sur les origines du langage : D’où vient le langage ? Qu’est-ce qui a permis à l’homme au fil de son évolution de passer des sons, des gestes au langage organisé de consonnes, de voyelles, de concepts…Pourquoi l’homme s’est-il mis à parler ? Pourquoi cette nécessité de nommer précisément toutes les choses qui l’entourent ? Pourquoi ce besoin d’exprimer en mots ses émotions, ses pensées; pourquoi les animaux ne parlent-ils pas ?

Création 2021

Une rêverie chorégraphique pour quatre corps et un élément

Je n’aime pas les bains, sais à peine nager, suis terrifiée en pleine nuit devant l’eau noire de l’océan et déteste avoir la tête immergée sous l’eau, où les sons m’apparaissent dangereusement déformés.
À l’inverse, j’aime presque par défi, me jeter dans les eaux glacées de torrents de montagne ou flotter dans les lagons des mers chaudes et lointaines… Que point de départ idéal à une future création !

Plus sérieusement, élément trouble et double, l’eau me fascine; tout à fois sombre et limpide, douce et furieuse, maternelle et mortelle, joueuse et ténébreuse, peuplée d’êtres fantastiques, réels ou imaginaires et dont les abysses, nous restent encore aujourd’hui  inconnus. Un magnifique réservoir d’images poétiques, de souvenirs enfouis, d’histoires partagées et de reflets de notre intimité.

La Mémoire de l’eau se conçoit comme une rêverie chorégraphique fouillant la part sombre, légère et ludique de cet indispensable élément.

Plonger et resurgir, disparaître lentement sous la surface, percer la peau des eaux, travailler à la beauté d’une presque immobilité et à la flottaison, troubler d’un geste la miroir de l’eau, traverser d’une rive à l’autre, se noyer, ou glisser au fil de l’eau à la manière d’Ophélie.